Au fait, le temps de parole est de 2,30.
J’aime tellement Thief : The Dark Project à tel point que j’insiste chaque année pour qu’il soit inclus dans le Top 100 de GamingTest.fr (et parfois j’obtiens gain de cause). Il semblerait que Thomas Porta aime aussi Thief, comme le montrent les images de son prochain jeu furtif Serpens : Eternal Thievery. En plus d’une bande-annonce de gameplay, il y a une vidéo de l’alpha actuelle (intégrée ci-dessus), qui montre les 10 premières minutes d’exploration d’une abbaye à l’aide de torches et qui m’a convaincu d’ajouter Serpens à ma liste de souhaits.
Le niveau a une carte dessinée à la main, s’ouvre sur une citation religieuse et comporte des cheminées dans lesquelles on peut ramper. Il y a une gemme lumineuse dans l’interface, les PNJ bourdonnent pour vous indiquer où ils se trouvent, et on peut grimper sur des boîtes judicieusement placées. Les torches peuvent être éteintes, les corps des gardes ramassés, et les portes sont mises en évidence lorsque vous êtes assez près pour les ouvrir. (J’apprécie le fait que les portes puissent être ouvertes à moitié pour jeter un coup d’œil à travers en maintenant la touche enfoncée).
En gros, c’est un jeu qui joue sur tous les tableaux. Tant de jeux furtifs ultérieurs ont laissé de côté des éléments essentiels de Thief, qu’il s’agisse de l’inclinaison ou de la capacité à déplacer des corps, que je suis heureux de les voir copiés ici. Mettez des boîtes empilées sous une fenêtre ouverte et je jouerai probablement à votre jeu. Serpens a l’air d’être plus qu’un simple clone, cependant.
Tout d’abord, l’ambiance est beaucoup plus médiévale. La trilogie Thief se déroulait dans un monde fantastique en pleine révolution industrielle, et donnait l’impression d’une version steampunk du roman noir. Tout dans Serpens semble suggérer un Moyen-Âge pseudo-anglais, des dialogues à l’interface, avec des menus qui ressemblent à des pages d’un manuscrit écrit à la main, une barre de santé et une gemme lumineuse tout droit sorties de marginalia.
Les pistes étiquetées qui apparaissent lorsque vous entendez des ragots ressemblent un peu à la touche Hitman, et il y a un élément de manipulation du temps qui suggère Outer Wilds. Il s’avère que Serpens est un dieu qui vous a béni d’une amulette qui vous permet de boucler le temps, ce qui sera utile puisque l’horloge avance pendant que vous jouez, comme l’indiquent les cloches du monastère. Il reste à voir en quoi la boucle sera différente d’un simple système de sauvegarde rapide, mais j’ai hâte de le découvrir.
Entre ceci et Gloomwood, c’est une bonne période pour s’intéresser aux Thief-likes. Vous pouvez en savoir plus sur Serpens : Eternal Thievery sur sa page Steam.
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